Aujourd'hui, une tenue on ne peut plus classique avec cette robe au motif pied de poule assorti à ma paire d'escarpins CosmoParis. Pour compléter le tout, veste et bas noirs terminent cette tenue de ce jeudi.

Bises nylonées.

Voici un nouveau récit que nous avons reçu de notre admirateur, Monsieur Loverstocking. Comme à chaque fois, la lecture  de ce récit nous aura fortement émoustillé. Nous vous souhaitons une bonne et agréable lecture.
Bises Nylonées.



Suite à ma passion pour la féminité et la beauté de la lingerie et surtout des bas, j’ai découvert le site de belle bulle, nous offrant gratuitement sa lingerie et ses coquinerie. Je n’ai jamais cessé de me passionner pour les séries de ce couple d’une grande générosité, prouvant en retour ma gratitude et ma fidélité à la beauté des clichés proposés en commentant leurs articles.

Bien décidé à en prouver un peu plus, nous avons organisé une rencontre ensemble, venant me rendre visite dans ma région. J’ai spécialement réservé une chambre d’hôtel 4 étoiles en bord d’un grand et beau lac.

Nous nous donnons rendez-vous le long d’une promenade de ce lac, profitant de cette journée d’automne. De loin j’aperçois le couple, enfin surtout madame ! Le soleil de face, à contre-jour, perchée sur des talons, elle a l’aspect d’un funambule évoluant en l’air, lévitant, marchant sur le lac chatoyant, reflétant la lumière automnale d’une grande douceur. Je m’empresse de les rejoindre pour découvrir à nouveau le couple, devant elle je suis en extase… Le soleil réchauffe les jambes de la belle malgré une légère brise, la vue est superbe.

En terrasse de café la belle profite de la chaleur, elle ôte son manteau de fourrure pour me laisser découvrir sa tenue. Elle arbore une robe portefeuille de couleur foncé. Assise sur une chaise en face de moi elle me présente ses jambes. Sa robe remontant au-dessus de ses cuisses j’aperçois ses bas beiges, la jarretière d’un de ses bas m’interpelle. Une des jarretelles se montre, elle est de couleur rouge, raide, imposant la tension à son bas de nylon beige à couture. Ma vue poursuit son chemin sur ses chaussures à talons aiguilles de couleur noire, des louboutin quelle affiche majestueusement pour capter mon intention.

La belle est gracieuse, jouissante et bandante. Nous prenons le temps de discuter, de profiter du temps, se délassant au soleil.
Je sors de ma veste un cadeau pour la belle, elle l’ouvre et découvre une paire de bas nylon de chez Cervin, ils sont de couleur marron avec couture… Elle est très heureuse de mon cadeau et pour me remercier son mari propose qu’elle les enfile au toilette pour m’exciter un peu… la belle plus aussi coquine que lors de notre première rencontre entreprend de les enfiler dans un lieu plus intimiste, afin que nous profitions du spectacle en prenant notre temps. Nous laissons notre place au soleil pour une invitation par la belle, à l’hôtel.

Arrivée dans le hall de l’hôtel nous nous engouffrons dans l’ascenseur, puis nous suivons dans le grand couloir, les jambes voilées de bas couture de notre belle, jusqu’à la chambre. Cette dernière est d’une époque passée, offrant un style 18ème siècle, très romantique et propice aux échanges charnels, comme les libertins de ce temps en avaient l’habitude. Il y a un lit très haut avec des draps de satin, deux chevets accordés à un bureau et sa chaise, ainsi que deux fauteuils. C’est dans cette atmosphère de boudoir chic et érotique que nous pénétrons ! Devant le lit, une fenêtre laisse entrer la lumière, le soleil inonde la pièce de par ses rayons éclatant mais également de sa chaleur. La vue est imprenable sur le lac depuis ce 5ème étage.

 Nous nous installons dans les deux fauteuils et elle prend place sur le lit, assise en bord de celui-ci elle nous fait face, prête à se dévouer à notre désir. Bandant déjà (pour ma part), j’attends avec impatience et excitation son effeuillage. Elle ouvre sa robe portefeuille, laissant apparaître sa lingerie…une guêpière rouge et un string assortit. Le rouge est la couleur de la passion, de l’amour, de la tentation, du luxe et de l’interdit... quel programme ! Les jarretelles courent le long de ses hanches, de ses cuisses pour suspendre une paire de bas beige. Elle ôte ses talons et les pose sur le lit, sensuellement elle détache un premier bas, le laisse descendre le long de sa cuisse, de son mollet, puis fait de même avec le second… Vous n’imaginez pas à quel point elle me fait bander ! Puis elle se lève, s’approche de nous, de son mari et avec ses bas attache les mains de celui-ci au fauteuil et lui dit d’un ton autoritaire :
« Tu ne bouges pas ! ».

Elle saisit dans son sac mon cadeau et retourne sur le lit, cette fois-ci en position allongée. Elle ouvre son présent, une paire de bas nylon couture de chez Cervin de couleur marron. Elle les retrousse avec délicatesse, les enfile avec sensualité, les attaches aux jarretelles avec érotisme, elle ajuste parfaitement les coutures à l’arrière de ses jambes. Ces voiles soyeux recouvrent désormais ses magnifiques jambes, les galbes. Elle rechausse ses Louboutin et d’un jeu de jambes nous aguiche depuis le lit. Elle ouvre la bouche et nous dit d’un coup :
« Baisez-moi ».

Je suis très surpris mais au fond de moi je n’attendais que cela ! Son mari attaché ne bouge pas, comme à la demande de madame. Alors, je me lève pour exécuter les envies de la dominatrice qui se présente à moi. Debout à côté du lit, je me déshabille, libère ma queue devant elle, lui laissant apprécier le désir qu’elle me procure. Je prends sa main et glisse mon sexe à l’intérieure pour qu’elle tâte la dureté de ce qui l’attend. Elle me dit :
« hummmm… elle est bien dure ! Excite-toi sur mon corps, je suis à toi ! ».

 Sans plus tarder je caresse ses jambes ; ses cuisses sont douces, elles me fournissent de l’excitation, je descends jusqu’à ses pieds. A genou sur le lit, je me mets face à elle, la chevauche, je lèche alors ses pieds, ses talons aiguilles. Mes mains remontent en même temps que mes baisers, le long de ses jambes, ses mollets, ses cuisses voilées ! J’atteins les jarretelles, mon sexe bandant touche ses pieds… sans retenue je me frotte sur ses pieds, mon sexe larguant un peu de mon excitation, mouillant les bas fraichement offert à la belle. Elle me dit :
« Vas-y continue, tu me fais mouiller ».

Elle se laisse faire, soumise à mon désir. Mon sexe remonte au niveau de ses cuisses, je passe ma queue sous une jarretelle de sa guêpière pour me frotter sur sa peau, ma langue explore son cou, y déposant des baisers à ma guise…puis parcours sa poitrine pour l’exciter. En même temps je pose une main sur son sexe, je passe mes doigts sous son string et inspecte sa chatte pour trouver son clitoris. Je fais pression sur son clito pour la faire jouir doucement… elle est en transe, se laisse aller à mes volontés les plus érotiques… puis elle me dit :
« met le dans ma bouche ».

Aussitôt je m’exécute, en maintenant toujours ma main sur son sexe et la pression sur son clitoris, je me relève dans le lit. A genou devant son visage, la verge turgescente, j’observe la belle regarder ma verge avec envie, avec gourmandise, elle ouvre la bouche, essayant de l’attraper par des coups de langue. Je me délecte de ce spectacle, celui de son envie grimpante de sucer ma verge bandante, de se sentir dominée, totalement dévouée au plaisir de son partenaire, c’est une belle salope ! Je finis par succomber au délice de la satisfaire… je plonge ma large queue dure dans sa bouche, elle laisse échapper un gémissement d’excitation au même instant. Je place une main derrière sa nuque, l’autre sur son visage pour la dominer. Sa langue se balade sur mon gland, j’exécute des mouvements de va et vient, retirant et replongeant entre ses lèvres mon pénis. Ses longs gémissements me laissent apprécier le plaisir gourmand qu’elle éprouve à ce labeur, à la mise en œuvre de mon plaisir… Je suis même tenté de la laisser poursuivre son travail jusqu’à la fin de l’acte de ma jouissance. Son mari m’interpelle, me sortant de mon rêve d’éjaculer dans la bouche de sa compagne, il me demande de mieux voir la bouche de sa femme remplit et dialogue avec moi :
« Elle fait ça bien ? »,
 «Oui, elle s’applique avec passion »,
« Elle aime ça ? »,
« Vu comme elle mouille, elle a l’air d’aimer ma bite ! »,
« C’est une vrai chienne quand elle est excitée »,
« Je te confirme, c’en est une, je l’envoie te sucer pour que tu profites un peu de l’excitation de ta femme ».

J’ôte ma verge de sa bouche et l’envoi à quatre pattes retrouver son homme. A genou devant lui, elle libère sa bite, elle est mure, en excitation totale, prête à donner. Assis sur le fauteuil à côté d’eux, je donne les ordres ! Elle obéit à ma voix.
« Suce »

Elle s’y met avec plaisir ! Son mari est soulagé de sentir la langue de sa femme sur sa verge. Elle fait ça avec appétit la coquine, elle a un grand désir… Je me place à genou derrière elle pour m’occuper un peu de sa chatte et de son cul. Elle écarte largement les jambes pour me laisser le champ libre. Je dévoie son string pour mettre à nue sa chatte et son anus, à ma grande surprise elle a glissé dans ce dernier un petit bijou comblant le trou, donc pas touche ! D’une grande coquetterie, ce diamant est assorti au reste de ses bijoux. Je passe un doigt dessus pour le bouger légèrement et lui faire battre le cœur à 1000 à l’heure, mais je ne vais pas m’occuper de ça aujourd’hui ! Je me concentre sur sa chatte, passe un doigt sur ses lèvres entrouvertes, descend sur le clitoris pour y faire pression avec des petites caresses. Elle cambre son dos, remonte ses fesses, prenant son pied, laissant tomber la besogne qu’elle exécutait sur son mari. Elle gémit fortement,
« han, han, han, oh oui, continue, vas-y ! Je mouille, han oui, vas-y fais-moi jouir, han… je jouis… oui… ». Elle aime ça la salope.

Son mari délaissé me demande :
« dit lui qu’elle continue jusqu’à la fin, jusqu’à ce que j’éjacule ».

Je lui ordonne tel que demandé. Elle reprend son travail sur son mari avec passion et dévotion, jusqu’au moment où… d’un coup sec je la pénètre, elle se cabre comme un animal sauvage pris de force, les bonnets de sa guêpière bustier descendent, laissant jaillir à nue sa poitrine. J’œuvre ainsi pendant qu’elle astique son homme, elle hurle et renvoie sur la queue de son mari toute la rage qu’elle prend par mes grands coups de bite. J’accélère, elle fait de même…, monsieur lance des râles puissants,
« oh, oh, han, han, suce-moi.. ! ».

Je me stop pour la laisser se concentrer sur lui.
Elle crie :
« Encore, continue, encore… ! ».

Je lui remets un coup, elle astique avec impatience monsieur, qui brame de plus en plus fort, exprimant son plaisir qui finit par gicler sur la poitrine de la belle. Il l’arrose avec exaltation, elle le masturbe jusqu’à la fin de l’éjaculation. Les éclaboussures du plaisir de monsieur coulent sur sa poitrine, s’infiltrent entre ses seins pour le plus grand bonheur de la belle. Elle est très enthousiaste d’avoir reçu cette giclée et en demande encore, elle s’adresse à moi :
« Je veux te sentir jouir sur moi »

Sans me soucier de détacher monsieur, je la relève ! Chancelante de l’orgasme que je lui avais mis avant, elle tituba légèrement sur ces talons aiguilles. Je la couche sur le lit, prêt à en découdre avec elle en répondant à sa demande. Elle mouille incroyablement, excitée de la giclée que son homme lui avait envoyé. Prête à me satisfaire également avec son corps.

Je la retourne sur le dos, elle se laisse faire ! A genou sur le lit, en appuis sur les coudes, les pieds relevés, elle me propose son cul, elle relève son derrière pour m’offrir une belle cambrure et étendre son anus vers le haut, vers ma verge…j’admire le spectacle ! Le sexe tendu comme un arc, je m’approche d’elle, caresse ses jambes, profite de la douceur du voile de ses bas, excite mon imaginaire en observant les aiguilles vertigineuses de ses talons, elle m’aguiche, attise mon envie d’explosion, je bande, essayant d’étirer au maximum mon sexe. Puis je grimpe sur le lit, elle ne bouge pas, me laissant la chevaucher comme un animal ne pouvant plus se battre, à bout de souffle, attendant la fin du supplice. En effet elle mouille et me le fait savoir :
« fais toi plaisir, prend ton pied, ça m’excite ! ».

La faire attendre est un calvaire pour elle ! Au-dessus d’elle, je passe ma verge sous une jarretelle de sa guêpière, contre sa peau je m’astique, la jarretelle retenant ma bite ! Elle gémit !
« Han, han, oh oui, excite toi sur moi ! ».

Puis j’écarte son string, dégageant son anus et son bijou. Je me frotte frénétiquement sur sa chatte, remonte vers son dos et frotte mon sexe brulant sur son bijou, appuyant dessus ! Laissant mon imaginaire pénétrer la belle à la place de son diamant, le remplacer par mes bijoux… !
Elle s’adresse à moi :
« Vas-y jouis, vas y donne tout ! ».

Sans plus attendre je ne retiens plus rien, elle m’a tellement excité par sa tenue BCBG, son attitude gourmande, son corps voluptueux et sa tenue sexy ! Je continue de frotter ma verge contre son bijou et laisse mon sexe épandre sa sauce dans le dos et sur les fesses de la coquine. Elle ne bouge pas, laissant mon sperme dégouliner sur ses fesses, rejoindre la cambrure de son dos d’un côté et suivant les jarretelles jusque sur ses bas de l’autre.…

Au moment de sentir mon jus chaud dégoulinant sur son corps, elle jouit de plus belle :
« han, oh oui tu me fais mouiller, han, han… oh oui ! ».

Loverstocking

Nous avons un charmant rendez-vous le soir même. En attendant de retrouver nos amis coquins, nous profitons des charmes de cette belle ville.....

Bises Nylonées.

17h00 : Nous sommes samedi en fin d'après midi et nous attendons la visite d'un charmant couple.

A suivre...

20h30 : ambiance " essayage lingerie " ....  et mes conseils  sur le porte jarretelles Cervin.
Nous en profitons pour adresser un petit clin d'oeil coquin à Sylvie & Patrice...

Bises Nylonées.